“COMMENT FAIT-ON POUR L’AVORTEMENT ?” : ADRIANA KAREMBEU REVIENT SUR L’ANNONCE BRUTALE DE SA FAUSSE COUCHE

Dans Libre, son autobiographie qui paraît le jeudi 2 mai 2024 aux éditions Leduc et que Télé-Loisirs a lu avant sa sortie, Adriana Karembeu se raconte sans fard. Si elle évoque bien sûr la naissance de sa fille, l'un des plus beaux jours de sa vie, elle n'élude pas pour autant les difficultés qu'elle a rencontrées pour mener sa grossesse à terme.

Si elle a évidemment connu des moments de joie dans sa carrière comme dans sa vie personnelle, notamment ses deux belles histoires d'amour avec le footballeur Christian Karembeu, puis avec Aram Ohanian, le plus beau jour de la vie d'Adriana Karembeu est sans contestation possible celui de la naissance de sa fille. En effet, le vendredi 17 août 2018, l'ex-mannequin accouchait d'une petite Nina au centre hospitalier Princesse Grace à Monaco. Ce bonheur d'être maman, Adriana Karembeu le goûte d'autant plus que cette grossesse, survenue à 46 ans, est un vrai miracle. "Je ne recommande pas de faire un enfant à un certain âge", confiait-elle d'ailleurs le 7 mars 2024 sur le plateau du Buzz TV.

"FIV ou pas FIV, Madame, ça va être dur !" : Adriana Karembeu se souvient des premiers mots du gynécologue

Dans Libre, son autobiographie qui paraît le jeudi 2 mai 2024 aux éditions Leduc et que Télé-Loisirs a pu lire, Adriana Karembeu revient sur le véritable parcours du combattant qu'a été sa grossesse. Et ce long et douloureux chemin commence dès son premier rendez-vous avec le gynécologue qui lui lance, sans prendre de gants : "FIV ou pas FIV, Madame, ça va être dur !" Des mots qui lui minent le moral, mais qui n'entament pas pour autant sa détermination à devenir maman. Adriana Karembeu et son mari décident même d'essayer d'avoir un enfant naturellement avant d'envisager un recours à la science. "Et puis un jour, mes règles se font attendre, avant même de m'être lancée dans un traitement", écrit-elle. Adriana Karembeu a alors 42 ans. Si elle confie que "la pensée de la ménopause surgit plus vite que celle d'une grossesse", les tests sont pourtant formels : elle est bien enceinte ! Malheureusement, cette joie est de courte durée...

"Des heures déchirantes qu'il est grand temps d'entourer d'humanité" : Adriana Karembeu se souvient de l'annonce brutale de sa première fausse couche

Lors d'un examen de contrôle après deux mois de grossesse, une très mauvaise nouvelle attend le couple. La gynécologue entre dans la pièce, une échographie à la main, et assène sans aucune précaution oratoire : "C'est un oeuf clair, désolée, ce n'est pas viable. Comment fait-on pour l'avortement ? Vous souhaitez prendre rendez-vous maintenant ?" Pour Adriana Karembeu, qui se projetait déjà avec son bébé dans les bras, la douleur est immense. "Si je n'étais pas assise, mes jambes auraient cédé sous le poids de cette nouvelle", écrit-elle. Si la perte de l'enfant la terrasse, l'ex-mannequin déplore tout autant la brutalité de l'annonce. "Trop souvent, dans le monde médical, cet espoir sans aboutissement est balayé d'un revers de main, c'est courant, c'est la routine. Mais ce sont surtout des heures déchirantes qu'il est grand temps d'entourer d'humanité", explique-t-elle. Par la suite, Adriana Karembeu fera plusieurs fausses couches avant d'enfin donner la vie à sa petite Nina quatre ans plus tard.